When the sun goes down (Oskar)

@"Kamila Monroe"

t'aimerais bien le trouver toi aussi ce trésor. peut-être étais-ce le bonheur. l'amour. la rédemption. ou un mélange des trois. "j'espère aussi. je perds pas espoir." tu ne savais pas quoi penser de ton rapprochement avec sarah. ça a commencé par de la drague dans un bar, espérant la mettre dans ton lit, comme tu le fais avec beaucoup de filles. et puis tu l'as emmené dîner. déjà ça c'était nouveau pour toi. et maintenant, t'es là à la serrer dans tes bras. ça ressemblait plus à un plan cul. t'es pas aussi tactile, aussi câlin d'habitude. pourtant tu sais pas décrire ce qui se passe en toi, quand elle te pose cette question. tu peux pas mentir pour lui faire plaisir. t'as besoin de temps pour y réfléchir. te poser un peu et repenser à tout ce qu'il s'est passé entre vous. puis elle te propose d'aller prendre un bain. elle ne te lâchera pas. t'as même pas le temps de répondre qu'elle te tire déjà hors du canapé avant de filer vers la salle de bain. vous restez collés comme des aimants. comme si vos corps allaient dépérir si l'un de vous s'éloignait trop loin trop longtemps. tu la regarde s'agiter à préparer le bain avant de s'y glisser. tu tardes pas à la rejoindre, en prenant soin de retirer ton caleçon avant. pas la peine qu'il soit trempé. tu te places derrière elle, le dos contre la paroi. avec tes mains, tu fais glisser l'eau chaude le long de son dos, la faisant frissonner au passage. tu lui masse la nuque, les épaules et tu descends jusque sur ses omoplates. l'odeur de fleur que tu connaissais maintenant si bien envahit toute la pièce. tes doigts se baladent sur sa peau parfaite. "ça fait du bien?" t'appuies un peu plus pour détendre le nœud dans son cou. une question te revient en tête. celle que t'avais voulu lui poser en début de soirée. "je croyais que t'étais que de passage en ville. qu'est-ce qui t'as convaincu de rester?" et d'emménager dans ce superbe appart.

@"Kamila Monroe"

tes mains sur sa peau, que tu pétris avec précaution pour ne pas lui faire mal. tes mouvements sont lents et précis. elle semble apprécier. en tout cas c'est ce qu'elle te dit. alors tu continus pour qu'elle soit complètement détendue. ta question te taraudait l'esprit depuis un moment déjà. tu pensais pas la revoir. pas si vite en tout cas. t'étais un peu surpris de voir qu'elle avait décidé de rester dans les parages. "oui je m'en souviens." tu souris. elle se moque de toi. comment est-ce que t'aurais pu oublier sa bouche remplie de cacahuètes? ou ce petit tour chez l'italien. ça aussi ça avait été sympa. un peu bizarre parce que tu venais de la rencontrer et que ça ressemblait plus à un rencard qu'à un coup d'un soir. elle avait passé sa soirée à repousser tes avances. pour au final tomber dans tes bras ce soir. ça avait valu le coup d'attendre. comme quoi. "tu m'étonnes, ça doit être énervant à force de tout le temps bouger." un peu comme toi, à la rue. tu supporteras pas cette situation trop longtemps. et impossible d'aller à l'hôtel, ça niquerait ton portefeuille. "la ville ou ses habitants?" toi inclue bien sûr. tu veux savoir si elle t'apprécie un peu. beaucoup. tu savais déjà qu'elle appréciait se frotter à toi. qu'elle avait aimé te chevaucher. ça c'était évident. tu l'avais comblé. mais maintenant tu veux lire dans ses pensées. voir ce qu'elle désire, ce qu'elle attend de toi. sans pour autant être certain de pouvoir lui donner tout ça. finalement, elle s'appuie contre toi. tu la prends dans tes bras. sa tête posée contre ton épaule. tes doigts effleurent la peau de son ventre. si t'as des rêves? avant t'en avais oui. maintenant, tu vis ta vie plus au jour le jour. sans grand but. "j'ai arrêté de rêver y a bien longtemps. maintenant je prends la vie comme elle vient." avec ses bons et ses mauvais aspects. "mais quand j'étais petit, je voulais voyager, devenir quelqu'un. j'avais plus d'ambition qu'aujourd'hui, c'est sûr." et tu voulais rendre fier tes parents, comme tout gosse. mais aujourd'hui t'as changé. t'es plus le gosse qui rêvait d'un bon job, d'une belle vie. t'as jamais pensé femme et enfants. t'es bien comme ça, installé dans ta petite vie. t'as tes habitudes. tes propres envies. tu suis pas le schéma classique.  

@"Kamila Monroe"

à ses paroles tu comprends qu'elle apprécie ta compagnie. qu'elle t'apprécie toi. comme tu es, avec tes qualités et tes défauts. t'aimes le fait qu'elle te juge pas. qu'elle écoute attentivement quand tu lui parle de toi. de ton histoire. alors tes lèvres s'étirent, ça te fais plaisir de savoir ça. tu l'avais pas fait fuir, c'était déjà bien. sa seule déclaration? qu'est-ce qu'elle voulait dire par là? est-ce qu'elle vous croit ensemble? est-ce que t'as l'air d'un petit ami pour elle? non c'est pas possible. mais alors est-ce qu'elle te voyait comme un vulgaire plan cul? tu la trouve trop proche pour ça. des amis? mais quel genre d'amis baisent puis prennent un bain ensemble après? tu sais pas. et elle en dit pas plus donc tu sauras pas tout de suite. tu laisses tomber. tu restes sur ce qu'elle t'a dit. c'est déjà bien. ensuite tu lui parles des projets que t'avais quand t'étais plus jeune. que tu voulais voyager, devenir quelqu'un de bien. peut-être qu'elle a raison. t'es encore jeune. t'as pas d'attache, tu peux partir. voir du pays. voir du monde. rien ne t'empêche de partir. "c'est vrai, je pourrais." tu prononces doucement, songeur. c'est peut-être pas trop tard pour te reprendre en main. "je crois que j'irais au canada, ça a l'air sympa là-bas." si tu pouvais t'irais un peu partout. tu serais peut-être même capable de quitter oracle. ça pourrait être un bon moyen de recommencer ta vie, tu crois pas? "j'imagine que t'as beaucoup voyagé pour ta carrière mais c'est la france que tu préfères?" et paris. la ville de l'amour. message caché? non. tu te dis que c'est juste une coïncidence. elle quitte tes bras pour te faire face. tu remontes tes bras hors de l'eau et déposes tes coudes sur le rebord de la baignoire. tu la regarde. la mousse dissimule ses seins, trop épaisse. elle te souris avant de t'éclabousser. tu te prends l'eau dans la gueule. t'en a plein les yeux. tu les frottes avant de les rouvrir. ça la fait rire. d'un rire moqueur et joueur. "ah ouais.. tu veux jouer à ça?" tu finis à peine ta phrase que tu l'éclabousses à ton tour. l'arroseur arrosé. puis tu te rapproches d'elle. tu commences à la chatouiller. elle gigote dans l'eau en riant. toi aussi. qu'est-ce que c'est bon de rire.

@"Kamila Monroe"

tu l'écoutes. t'as presque l'impression de te faire sermonner mais ce qu'elle dit, c'est vrai. tu le sais au fond de toi. c'est toi qui décide. personne d'autre. tu t'obstines à faire des choix débiles, regardes où ça t'a mené. pourquoi tu changerais pas un peu? arrêter de faire le con. de te plaire dans ce semblant de vie que tu as. tu pourras pas vivre comme ça toute ta vie. un peu de changement, ça pourra pas te faire de mal. t'es à la rue et t'as plus de boulot non plus. pourquoi tu recommencerais pas? c'était l'occasion rêvé. trouver un truc qui paye bien. te libérer enfin de nikki. t'as trente-deux ans, c'est peut-être le bon moment. alors t'acquiesces de la tête, simplement, lui faisant comprendre qu'elle a raison. que t'allais y réfléchir. "comment tu fais pour être toujours si optimiste?" puis tu l'écoutes te raconter ses différents voyages à travers différents pays et différents continents. tu l'envies un peu, tu vas pas mentir. "et tu veux aller où après?" oracle, c'est pas très exotique. elle y restera pas toute sa vie. en tout cas, tu lui souhaite pas.

quand tu l'éclabousses. elle se plaint. fallait pas jouer à ce petit jeu avec toi. c'était sûr que t'allais gagner. tu la regarde, amusé. elle fait moins la maline comme ça. mouillée jusque sur le haut du crâne. tes mains s'agitent ensuite autour d'elle, tes doigts picorent sa taille. elle se tord dans tout les sens. c'est qu'elle est chatouilleuse la pianiste. toi ça te fait rire. ton regard sur elle est mesquin, joueur. en se débattant elle te colle des petits coups dans l'abdomen.  elle te demande d'arrêter. elle te supplie même. elle a les joues toutes rouges, tu trouves ça mignon. alors tu finis par arrêter, la laissant souffler. toi tu te bidonnes encore. tu mets un temps avant de te calmer et de retrouver ton sérieux. tu l'attires dans tes bras et déposes un baiser sur sa joue rosie. "t'es belle quand tu ris." tu lui murmures dans l'oreille, d'une voix suave. pas que quand elle rit, évidemment.

@"Kamila Monroe"

t'es persuadé qu'elle a un coeur en or. elle veut aider tout le monde. toi. mais aussi les enfants à l'autre bout du monde. rien que pour ça, elle mérite que tu la respecte. c'est une femme sensible. ce qu'elle te raconte, c'est le genre de choses que tu vois à la tv, dans des documentaires. déjà là, c'est fort. mais t'imagines même pas ce qu'elle a dû ressentir en s'y rendant. ça devait être une belle expérience, c'est certain. "c'est un beau projet. il faut que tu le fasse.. pourquoi pas après tes concerts?" d'ici un ou deux ans, d'après ce qu'elle t'avait dit un peu plus tôt. "t'as déjà pensé à tout quitter pour partir là-bas?" en afrique, en inde. qu'importe le lieu. juste quelque part où elle pourra se sentir utile. rien que d'y penser, c'est galvanisant. "tu regrettes pas de pas avoir continuer la médecine? t'aurais pu faire dans l'humanitaire.." ils en avait sûrement plus besoin que vous.

tes mots la touche. tu vois qu'elle est gênée. n'a-t-elle jamais entendu un homme lui dire à quel point elle est belle? t'es sincère. tu la trouve parfaite. craquante. "pourquoi, je te regarde comment?" avec des yeux envieux. "c'est la vérité, je te trouve magnifique." son air délicat. ses traits angéliques dans le visage. ses yeux émeraudes t’envoûte. même son corps tout entier te donne envie. tu la gardes un moment dans les bras avant qu'elle ne te tende un savon. tu l'observes un instant se frotter la peau, le cou, les épaules. son corps tout entier; avant d'en faire de même sur le tien. une fois lavés, vous sortez de l'eau. t'attrapes une serviette que t'enroules autour de ta taille. puis une pour elle, que tu lui tends pour qu'elle se sèche aussi. "t'es fatiguée?" toi non mais l'heure devait commencer à tourner sérieusement. et tu sais pas encore si elle t'enverra dans la chambre du haut passer la nuit. en tout cas, tu veux pas.

@"Kamila Monroe"

non c'était pas hypocrite du tout. au moins elle faisait quelque chose pour aider. c'était déjà bien. si tous le monde en faisait autant, y aurait peut-être pas autant de misère dans le monde. tu comprends qu'elle a l'âme généreuse. c'est une belle qualité. tes yeux sur elle ne sont pas ceux d'un enfant. non. sûrement plus ceux d'un homme qui la désire. même si tu commence doucement à l'apprécier. toutefois sa réponse te fait sourire quand même. au moins, elle te voyait plus comme un gros dalleux. c'est sûr, t'as pas le même comportement que lors de votre rencontre. t'as changé. elle avait dû le remarquer. t'es plus respectueux. moins centré sur le cul. ton comportement en étonnerait sûrement plus d'un d'ailleurs - dont nikki - mais t'avais décidé de lui ouvrir ton coeur après qu'elle l'ait fait, elle aussi. un peu comme une réponse finalement. ça c'était fait naturellement. et ça t'avais fait du bien d'en parler. quand tu lui demande si elle est fatiguée, elle ne te répond pas. à la place, elle baille. hasard? tu sais pas mais au moins t'as ta réponse. alors tu te baisses et passes tes bras autour de ses cuisses avant la faire basculer sur ton épaule. tu la porte, son corps dans ton dos, comme tu le ferais avec un vulgaire sac à patate. tu l'entend rire et elle se laisse faire. "allez, c'est l'heure d'aller au lit." que tu lui dis, enjoué. tu l'emmènes jusque dans sa chambre. les draps sont toujours défaits. résultat de vos galipettes de début de soirée. un bon souvenir de ton côté. tu la déposes sur le lit, en veillant quand même à ne pas la blesser. t'allais quand même pas la jeter comme un sac de terreau. finalement, tu la regardes se glisser dans les draps. nue. t'as bien envie de la rejoindre. de la prendre dans tes bras. mais tu penses pas que ce soit ce qu'elle veuille. tu veux pas qu'elle croit que tu veux encore lui mettre le grappin dessus. même si l'idée de l'avoir nu dans ton lit te donnait déjà chaud. tu déposes finalement un baiser sur ses lèvres, chaste. mais quand tu t'apprêtes à la laisser, sa main agrippe la tienne.

@"Kamila Monroe"

ses doigts attrapent les tiens. et ton coeur bondit quand elle accepte que tu restes. elle veut que tu restes. heureusement, parce que tu te voyais pas dormir seul dans le lit du haut. pas quand tu sais qu'une fille aussi sexy qu'elle dort toute nue dans son lit. alors forcément, tu veux coller ton corps au sien. tu veux pas t'en décoller. ne pas la laisser. tu veux finir la nuit dans ses bras. après, advienne que pourra. demain, qui sait, cette intimité s'achèvera sûrement. tu rompras cette proximité entre vous. tu t'éloigneras probablement d'elle. parce que c'est ce que tu fais. partir sans prévenir. parce que tu veux pas d'attaches. au fond de ton coeur, tu sais que tu la mérite pas. pas une fille comme sarah. mais pour le moment, tu décides de profiter un peu plus de cette soirée. tu te glisses dans les draps, toi aussi nu comme un ver. ton corps se languit déjà du sien. ses lèvres sur les tiennes, tu pousses lentement ta langue dans sa bouche. tu l'embrasses passionnément. ta langue valse avec la sienne. tu poses une main sur sa hanche et la rapproche un peu plus de toi. ta main caresse sa fesse. la sienne s'échoue dans ta barbe. puis tu repenses à cette soirée. c'était parti de rien. d'un coup de main dans la rue. tu lui avait sauvé la vie. et t'avais failli buter un mec. si tu l'avais fait, tu serais pas là. avec elle dans les bras. tu serais derrière les barreaux d'une cellule. ensuite elle t'avait ramené ici, chez elle, pour te panser. puis il y a eu le premier baiser que tu lui a volé. vous vous êtes réconfortés comme vous le pouviez. avec du sexe. et rien que d'y penser, ça te redonnait envie.

@"Kamila Monroe"

c'est comme si elle lisait dans tes pensées.que vous étiez connectés tous les deux. ses lèvres dans ton cou te font frémir. sur ton torse. sur ton ventre. et quand elle descend encore, tu la trouve entreprenante. tes yeux s'écarquillent quand sa langue joue avec ta queue. putain tu t'attendais pas à ça de sa part. après votre partie de jambe en l'air de tout à l'heure, tu l'imaginais chaste. prude. alors quand elle commence à te lécher, tu trouves ça presque malsain. t'en serais presque gêné. mais au fond, tu vas pas mentir, t'adores ça. tu peux pas lui cacher ton excitation. ton érection se dresse sous ses yeux. tu te laisse faire, plus que conquis. sa langue sur ton gland, sa bouche entoure ton pénis. c'est ton corps tout entier qui chavire. ton cerveau se déconnecte. t'arrêtes de penser à votre soirée. tu te contente simplement d'apprécier ce moment. elle te suce avec passion. putain ce que c'est bon. tu t'abandonnes sous ses mains visiblement expertes. t'as chaud. t'es brûlant d'envie. ta main dans ses cheveux, tu l'incites à continuer. tu veux pas qu'elle arrête. ses doigts sur ton scrotum te font gémir. tu grognes de plaisir. tes yeux se ferment. et à chaque mouvement de ses lèvres contre ta peau, ton souffle se coupe. comme incapable de respirer. elle est douée. tu remues même le bassin, violant sa bouche par la même occasion. t'es faible face à elle. t'as envie d'elle. tu veux la prendre toute entière, là maintenant.

@"Kamila Monroe"

bon sang, elle fait ça si bien. elle te rend fou. t'es près à exploser. ton sang bouillonne à la base de ton membre. mais elle finit par ralentir, te laissant vaguement le temps de reprendre tes esprits. t'es déçu qu'elle y mette un terme. elle venait de te donner la meilleure pipe de ta vie. et ton désir te brûle à l'intérieur. t'as le ventre en feu. t'as envie de la prendre. si férocement. alors quand ses lèvres retrouvent les tiennes, tu l'embrasse avec fougue, lui faisant comprendre que t'en veux plus. que tu la veux elle. alors quand finalement sa main te guide en elle, tu ne retiens pas le soupir qui fuit ta gorge. putain oui. elle s'empale sur ton sexe brûlant. gonflé à bloc. tout ton corps la voulait. tes mains agrippent ses fesses que tu presses sans retenue. t'accompagnes ses mouvements de va-et-viens, l'incitant à chaque fois à descendre davantage. tu veux t'enfoncer en elle. y perdre pied. tu niches ta tête dans son cou et mordilles sa peau. excité, ton coeur tambourine. la première fois, c'était tendre. doux. c'était bon. mais là, t'as envie d'un truc plus sauvage. d'un truc qui te ressemble un peu plus. alors tu remues le bassin. tu lui infliges des coups de reins plus secs qu'avant, lui arrachant un gémissement. ton désir te contrôle. tu le sens, il est là. il te brûle jusqu'au fin fond de tes entrailles.

@"Kamila Monroe"

ta queue la pénètre sèchement. elle hoquette. t'en déduis que ce que t'es entrain de lui faire lui plaît. tu te perds en elle. ton gland martèle le fond de son vagin. t'as qu'une envie c'est de la faire crier. tu veux la surprendre. qu'elle prenne son pied. comme toi t'es en train de le faire. pourtant ses mains décrochent les tiennes de ses fesses. elle les plaque à côté de ta tête. tu perds alors tout contrôle sur tes mouvements brusques. est-ce que tu lui fais mal? elle te trouve peut-être trop entreprenant. ça te rend fou. fou de désir. ses petits muscles essaient de te maintenir mais t'es plus fort qu'elle alors tu te libères sans trop de mal. tu sondes son visage. et son regard espiègle t'excite encore plus. tu te retires avant de te redresser sur tes genoux. tu glisses dans son dos, collant ta peau à la sienne. furieusement ta main droite agrippe son sein tandis que l'autre prend place sur son ventre. ta queue glisse entre ses cuisses. tu reprends possession de son corps, comme s'il était tien. t'enfonçant en elle profondément. ta main sur son ventre l'incite à se cambrer, pour amplifier l'effet de ta queue en elle. tu lui porte des coups de reins puissants, reprenant ton rythme favori. tes bras la serre. t'aimes la dominer. la violenter. l'entendre geindre dans tes bras. tu veux qu'elle cède. qu'elle s'écroule tout contre toi. alors tu continues tes mouvements brutaux. jusqu'à torturer son point g. jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme. et que toi aussi.

@"Kamila Monroe"

ton coeur va te lâcher. le sang bouillonne en toi. quand elle atteint l'orgasme, c'est ton corps tout entier qui explose. tout tes muscle se tendent. ton coeur sursaute. un orgasme si violent qu'il irradie tout ton corps. t'es en sueur. brûlant. un lourd grognement s'échappe de tes lèvres. putain que c'était bon. tu te retires doucement, tes bras la libère. t'es qu'un sale égoïste parce que t'as surtout écouter tes envies. suivis tes pulsions. sans vraiment lui demander son avis. mais c'est ce qui t'as plus aussi. son visage apparaît devant toi, un grand sourire dessus. elle a dû aimé que tu la prennes sauvagement. férocement. "je t'ai pas fait mal?" si c'est le cas c'est un peu tard mais tu préfères quand même poser la question pour être sûr. certain qu'elle t'en veuille pas. ça changeait de sa douceur. tu ne t'en étais pas rendu compte. ton corps essaie de se remettre de ce moment. tu frissonnes. t'es secoué de spasme. t'as joui si violemment, que ça en est douloureux. elle te sers dans ses bras. t'es comblé mais épuisé. tu te laisse tomber avec elle sur le matelas. ton corps écrase le sien. tu te retiens à la force des poings sur le lit pour ne pas t'étaler lourdement sur elle. ta tête tombe sur son épaule où tu déposes quelques baisers. t'avais du mal à retrouver tes esprits. reprendre ton souffle. redescendre sur terre. tu finis pas basculer à ses côtés, sur le dos. le visage tourné pour la regarder. tu te sens comme ivre de plaisir. bordel cette femme te rend dingue.

@"Kamila Monroe"

elle a adoré. t'es rassuré. tu veux pas qu'elle pense que t'en as rien à foutre d'elle. que c'est comme ça que tu voulais la prendre dès votre rencontre. même si tu vas pas mentir, quand tes yeux se sont posés sur elle au début, tu voyais qu'une chatte de plus à baiser. tu la voyais pas pour celle qu'elle était. maintenant oui. alors ses désirs t'importait. ça rendait la chose encore meilleure. "t'étais parfaite. la meilleure pipe de ma vie." t'es vulgaire. et dieu sait qu'on te pompe souvent. allongé sur le lit, tu souffles. les yeux mi-clos, t'essaies de calmer tes ardeurs. de t'adoucir un peu. parce que tu sais qu'elle aime quand t'es comme ça. quand tu poses les yeux sur elle, tu la vois un peu moins angélique qu'avant. tu te souviens de sa langue sur ta queue. tu la pensais pas comme ça mais t'étais agréablement surpris. jamais tu diras non à une pipe comme celle qu'elle venait te donner. tu plonges dans son regard émeraude, te demandant ce qu'il allait se passer maintenant. du moins dès demain. entre vous. t'aimerais savoir ce qu'elle ressent. t'es dans le flou. toi, tu sais pas quoi penser. est-ce que ça fait de vous des coups d'un soir. des amis (avec le plus d'avantages possibles). t'essaies de le deviner sur son visage, mais tout ce que tu vois, c'est son sourire. ses lèvres. ses yeux d'un vert magnifique. envoûtant. tu sens sa main dans ta barbe. ses doigts sur ta joue. et sa voix brise la tranquillité de vos deux cœurs. "tu me rend dingue." tu savais plus trop où donner de la tête dans tout ça. et tu ne voulais pas briser ce moment en lui demandant où tout ça vous mènerait. vous en saviez sûrement rien tous les deux. "t'as d'autres talents cachés?" léger sourire en coin.